18 Janvier 2014
La rédaction de TF1 propose ce samedi à 13h25 le magazine Reportages, présentée par Claire Chazal. Sommaire
13h25 - Un an à l'école des cracks Un reportage d'Anaïs Ciura, François Richard & Patrice Livet. Montage : Sylvain Oizan-Chapon (Les Films de la Chance)
Christophe Soumillon, Olivier Peslier ou encore Maxime Guyon, ces Français comptent parmi les
meilleurs jockeys du monde. Tous ont été formés dans la même école : celle des courses hippiques de Gouvieux, à quelques kilomètres de Chantilly. Chaque année, 150 élèves intègrent
cette prestigieuse école. Pendant un an, nous avons suivi Justine, David-André, Nicolas et Pierre... tous rêvent de devenir des cracks.
Six heures du matin, au coeur de l'hiver, Justine est déjà dans les boxes. A 18 ans, elle est passionnée par les chevaux : "Ce qui me plait c'est leur calme... ils
ont un tempérament qui impose beaucoup de respect alors je suis là pour leur rendre l'amour qu'ils nous donnent". Justine est en terminale et passe un bac professionnel
à l'école des courses. Cette année, elle est l'un des espoirs de l'établissement. La jeune fille a déjà participé et gagné plusieurs courses-écoles. Dans un milieu d'hommes, Justine a su
s'imposer et gagner la confiance de son entraîneur. C'est une année décisive pour l'adolescente : elle va passer son bac mais doit surtout faire ses preuves sur la piste.
David-André, lui, est l'un des plus jeunes élèves de l'établissement ; il vient d'avoir 14 ans. Il a quitté sa famille et l'Ile de la Réunion pour vivre sa toute récente
passion. Il y a encore cinq mois, David-André n'était jamais monté à cheval. L'adaptation n'est pas facile. Entre changement radical de climat, éloignement familial, difficultés scolaires et
chutes de cheval, le parcours de David-André est semé d'embûches. : "J'ai peur de redoubler. Si je redouble ma mère m'enlève de l'école !"
14h15 - Mes voisins me rendent fou Un reportage de Carole Gréco, Miguel Gonant & Mickaël Lefrançois. Montage : Vincent Gobert (Tournez S'il Vous Plaît)
Tapage nocturne, bruits incessants, odeurs insupportables... Parfois, les voisins ne se supportent
plus. Comment cohabiter avec des fêtards, supporter les chiens d'à côté ou le voisin du dessus. A Toulouse, un service de médiation a été mis en place pour tenter de régler les querelles de
voisinage.
A Toulouse, Solange, 75 ans, habite juste au-dessus de trois colocataires qui aiment la fête et la musique. Ils reçoivent régulièrement jusqu'à 60 invités jusqu'à l'aube. Impossible
pour Solange de dormir, ou même d'ouvrir les fenêtres. "Ils n'ont pas compris qu'ils étaient dans une copropriété qui avait droit au calme", explique-t-elle aux deux médiateurs de la
mairie de Toulouse venus tenter de raisonner les fêtards. Pas sûr qu'ils y arrivent...
Florence, elle, est persuadée que son voisin du dessus, fait tout pour la déranger : elle guette le moindre bruit de pas, de raclement de chaise ou de plomberie et en est réduite à
s'enfermer dans sa chambre et mettre ses bouchons d'oreilles "On est bousillé à cause d'une personne. J'en ai des palpitations..." Explique-t-elle. Mais Martin ne l'entend pas de cette
oreille : selon lui, c'est Florence qui est hypersensible. "Quand je vis, elle prend ça pour une agression". C'est devant un conciliateur de justice qu'ils vont s'expliquer, et
peut-être, réussir à s'entendre.
Mais que faire quand on habite au premier et que les chiens du deuxième jouent sur le balcon, avec pour conséquence déjections et poils qui tombent sur sa terrasse dès qu'il pleut ? C'est le
drame que vit Fabrice depuis plusieurs mois. Insultes, ambiance électrique, ceux-là vont-ils réussir à faire la paix ?
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Crédit Photo : TF1